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 NOUVEAu
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Merci
à tous mes lecteur(trices) qui m'ont permis d'atteindre ce palier exceptionnel !

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DETAILS ci-dessous

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sorti d'imprimerie le 17 août 2022

Poèmes accumulés tout au long de ma vie.

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Un grand-père raconte à ses petits-enfants ce qu'il a vécu durant la Bataille des Ardennes à Bastogne en Belgique durant l'hiver 1944.

Il était alors âgé de 12 ans. Un concours de circonstances fera que la nuit de Noël, se retrouveront dans la ferme des Belges, des Américains, des Allemands et des Juifs.

« Il se passe bien des choses en cet hiver 1944 dans le bois du Renard, pas bien loin de Bastogne où le ciel joue une drôle de musique.

Maximilien, 12 ans, en compagnie de ses nouveaux amis Esther et Simon vont vivre une nuit de noël très particulière. « Je n’en croyais pas mes yeux. Feu-Follet était là. Il grattait la neige.J’en oubliai les soldats et sans geste inutile, je m’assis en tailleur au pied d’un sapin sans bouger un cil...

... il s’approcha, me renifla et peut-être, attiré par ma chaleur, il vint se lover entre mes genoux...

Dans le bois du Renard, là, au milieu des sapins, allait débuter un évènement qui changerait ma vie. »

Mon premier roman

sorti d'imprimerie le 14 mai 2019

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Ecole de Masnuy-Saint-Jean

Animation dans les écoles
avec dossier pédagogique et didactique

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Uccle école St-Job

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Mon inspiration

Lorsque j’étais enfant, ma mère, assise dans le canapé, ma sœur et moi à ses côtés, nous lisait les livres de la « Comtesse de Ségur » et de la collection « Le Phare-Junior ». Il m’en reste de tendres et merveilleux souvenirs.

Adolescente, elle me parle des auteurs lus dans sa jeunesse. Je m’intéresse particulièrement à Marcel Pagnol et Alphonse Daudet. Deux écrivains qui me rappellent mes vacances à Saint-Jean-du-Gard (sud de la France).

 

La couverture du livre... un moulin, je la tourne et les mots se succèdent sur la page et puis, disparaissent. Là, sous les tamaris, les cigales en concert assourdissant, entament un « Hymne à la joie » sous le soleil levant. L’air sent bon le miel, la lavande et le thym. La Durance coule à mes pieds. Son roulis sur roches et galets transporte jusqu’aux oliviers les secrets des Arlésiennes, la dernière confession au révérend Père Gaucher et les mots d’amour de deux petits vieux qui avaient fini par se ressembler, ...

 

Plus tard, en compagnie de Jeanne Bourin et de Juliette Benzoni, le Moyen-Âge n’aura plus de secret.

Des croisades à la guerre de Cent Ans, de Florence à Cologne en passant par la Bourgogne, Bruxelles, la principauté de Liège, ... hauts en couleur, les personnages entrent en scène et les lettres sur le papier soudain s’estompent. Elles disparaissent devenant paysages et personnages, histoires d’amour ou batailles, trahisons et pardon.                                                           

Je deviens à tour de rôle paysanne, dame de compagnie, baronne, comtesse, princesse ou impératrice. J’assiste aux tournois, me retrouve au fin fond d’une forêt épaisse à galoper pour ma survie, me rendant au château afin d’apporter la missive qui changera le cours de l’histoire.

 

En ce qui concerne mon attirance pour la Chine antique, je m’en remets à Pearl Buck et me promène alors dans le grand jardin d’une maison bourgeoise ou au fin-fond d’un village de montagne, parmi la paysannerie oubliée.

Dans le jardin de Madame Wu, je prends place sur un banc de pierre dont les dragons servent d’accoudoirs. Je respire le parfum délicat des pivoines. Un héron, les pattes dans l’eau, au milieu des nénufars, m’observe. Les arbres en fleurs attirent une multitude d’insectes.

Ma main languissante frôle la surface de l’eau presque tiède dans laquelle les koïs d’une grande beauté se prélassent.

 

Christian Jacq m’entraine dans les méandres de l’Égypte.

Les papyrus sont lascivement bercés par l’onde légère du Nil ou maltraités par le flot impétueux de ses crues titanesques. Revêtue d’une robe de fin lin grège, je traverse l’allée des sphinx, le front enserré d’un cercle d’or orné d’un cobra royal. Tout-à-coup, au détour d’un temple ou d’un palais, je rencontre Néfertiti, Ramsès ou Toutankhamon.

Soudain, on sonne à la porte. Qui peut me déranger ?  alors que suis toujours Louxor. Un chien aboie et un deux tonnes évite un chat imprudent qui traverse la rue. Coup de frein, klaxon et la Cité Interdite à Pékin s’évanouit. Un groupe d’enfants à bicyclette passent sous ma fenêtre activant allègrement la sonnette de leur bolide. Encore un peu et ils traversaient la rivière.

A cet instant, les images s’estompent et les pages sont à nouveau là, le livre sous mes doigts, es numéros des pages seuls témoins du voyage parcourut. Il n’y a plus qu’une succession de lettres, de mots, d’accords de conjugaison, de participes passés, ...

Le livre peut alors être fermé, replacé sur l’étagère de la bibliothèque parmi ses semblables jusqu’à être réouvert pour s’en retourner là où l’histoire s’est figée et que, d’un coup de plume, chevaliers, princesses, pharaons, cigales ou hérons soient ranimés. 

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